06 février 2006

Rétro : Juillet : Des décibels (1)

Les virus sont des petites bêtes résistantes. Je sais de quoi je parle. Remis sur le flanc le gremlin. Moi qui croyais en avoir fini avec la grippe, j'avais sous-estimé la virulence de l'attaque. Du coup, je me suis retrouvé une nouvelle fois aux abonnés absents. Mais grâce aux vertus bien connues de l'acide salicylique et de la vitamine C me voilà de nouveau sur pied... Pour en finir avec cette foutue rétro. C'est vrai quoi, on ne va quand même pas y passer l'année.
Juillet 2005, c'est chaud pour les esgourdes. Le 10, cap sur Le Mans pour les Renault World Series. Le circuit Bugatti est écrasé par la chaleur mais les concurrents des différentes formules aux prises durant toute la journée ne la joue pas petits bras. Côté spectacle, quand on est un peu lassé de voir tourner des voitures, on peut profiter du passage de la Patrouille de France (Oh, la belle bleue! Oh, la belle blanche! Oh, la belle rouge!) au-dessus de nos têtes avant d'aller faire un tour dans le parc fermé où sont concentrées les belles du jour, vieux clous qui ont fait l'histoire de la marque au losange ou anciennes gloires des pistes et des rallyes qui retrouvent toute leur splendeur sous les regards admiratifs des badauds. Le clou de la journée est assuré par David Hallyday (le fiston d'un futur belge) au volant d'une F1 sur quelques tours de piste. A l'arrêt de la star du jour, l'enthousiasme de la foule est tel que je me retrouve emporté et que le pare-soleil du 400mm de prêt se brise comme du verre contre un muret en béton. Ah, les fans...

Sous certains angles, la Clio V6 a du charme. Si, si...


Champagne!


René Arnoux, 7 victoires en F1 dans les années 80 et toujours pas rangé des voitures.


Passage de la Patrouille de France? Torticolis assuré.

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