The Qui ont donné le ton de la soirée avec des reprises délirantes, littérales et parfois complétement surréalistes de la bande à Pete Thownsend. Le chanteur pousse le mimétisme à mettre une veste à franges (??) très personnelle.
Dreadful Lemons ne change pas. Ce combo axé sur le duo Daniel Duez (guitare)/Claire Delaby (chant) écume les scènes en hommage au dirigeable (Led Zeppelin pour les intimes). La seule fois où je les avais vus, j'avais trouvé leur prestation sympa mais manquant d'âme. En évoquant ce concert, Daniel m'a dit que ce soir-là il était malade comme une bête et s'était fait opérer peu de temps après. Ces problèmes de santé étaient de l'histoire ancienne, mercredi soir. Le quatuor a balancé set carré puisant surtout dans le répertoire le plus "roots" de la bande à Page. Foin de "Rain Song" ou "Stairway...", la priorité était au rock binaire, primal, puissant. Scottland n'avait plus qu'à investir la place, elle était toute chaude.
Eric Fermentel et sa bande de furieux ont achevé le travail de brillante façon. Scottland est, à mon avis, l'un des très bons "tribute" à AC/DC et à Bon Scott. On retrouve chez eux, le plaisir de jouer qui existait chez les créateurs de "Highway To Hell". Il ne faisait pas chaud mais les Marshall du groupe auraient pu faire fondre la banquise. Let There Be Rock!!!!

Scottland

Scottland (bis repetita)

Roger Daltrey va être jaloux.

Scottland toujours.

Claire ou Robert?